9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 10:27
On traine une fois de plus notre appareil photo dans une ancienne carrière de calcaire avec objectif d'en tester un nouveau... et surtout de passer un bon moment.
L’hiver pluvieux à quelques conséquences et certaines parties sont recouvertes d’eau d’une couleur turquoise du plus bel effet.

 

Les taches qui constellent le ciel sont dues à la fumée dégagée autrefois par les lampes à acétylène des carriers et on distingue parfaitement les traces dextraction des blocs d'un mètre cube sur les parois. 

 

Se confondant parfois avec ces taches noires quelques hôtes profitent de l’humidité des lieux pour piquer un roupillon. En effet les carrières offrent des conditions idéales pour les chauves souris: Température constante et à l’abri du gel, obscurité et calme.
Calme dites-vous ? Respectons leur dodo et allons rapidement baguenauder plus loin.

 

D’autres surprises nous attendent. Posées sur le sol on trouve de petites boules duveteuses bien étranges. Certaines se dressent sur une hauteur de 20 cm.

 

Renseignements pris, il s’agit de rhizopus. Vous en doutez ? Lisez la description dans Wikipédia :
La morphologie de l'anamorphe se caractérise par une hyphe siphonnée (sans cloison), multinuclée, à noyaux haploïdes, et à croissance apicale, possédant une paroi de chitine et de glucanes. Le protoplasme renferme de nombreuses vacuoles qui repoussent le cytoplasme et les noyaux à la périphérie. Les réserves de nourriture sont stockées sous forme de glycogène et de lipides.
C’est clair non ? Je pense qu'il n'y a aucun doute!

 

Bon, que font ils ici ces rhizopus ? Et bien ils se sont développés sur des fèces de Maitre Renard qui, lui aussi, fréquente assidument les souterrains.
On ne fait pas beurk, ces moisissures sont cousines avec celles qui  ravissent nos palais dans le roquefort entre autres !
Il est bien connu que le renard se délecte de fromage dans une certaine fable aussi la boucle est bouclée.
Il est indéniable que ces rhysomus sont pourvus d'une certaine élégance.

 

Quant à nous, ne moisissons pas dans ces lieux majestueux, direction la sortie, on dirait bien que le soleil se rappelle à notre souvenir .

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 07:18
Ce n’est pas un secret, le temps est maussade comme dit un ami Israélien aussi pourquoi ne pas en profiter pour aller flâner sous terre ?
Quand on parcourt ce monde minéral on a du mal à se faire à l’idée qu’au même endroit, il y a quelques années, la ballade aurait été non pas souterraine mais sous-marine. Par "quelques", j’entends environ 50 millions d’années. Je n’étais pas né et mes ancêtres non plus. Subséquemment, je suis bien obligé de croire ce qu’on me dit. Bref, le calcaire est une roche sédimentaire allochimique qui est exploitée depuis fort longtemps pour la construction, amender les champs, le macadam des routes etc...
Afin d’atteindre relativement facilement les bonnes couches et préserver l’exploitation des terres agricoles en surface, l'extraction des blocs se faisait souvent en galeries souterraines. Cela tombe bien car on adore baguenauder dans ces lieux où le dépaysement est assuré. Voici donc quelques tentatives photographiques destinées à  vous faire profiter de l'ambiance qui règne dans ces excavations maintenant abandonnés..

 

La visite à peine commencée  on se rend vite compte de la grandeur du volume extrait. Dans cette carrière privée du centre de la France, la strate exploitée fait environ 8 mètres de hauteur et son pendage est horizontal.
Comme bien souvent, des piliers sont ménagés régulièrement pour soutenir le ciel.

 

 

 

Dessiner sur le ciel qui n’en a pas rêvé ?

Celui-ci ,culminant à une dizaine de mètres, a été vraisemblablement été décoré avec la fumée dégagée par une lampe à acétylène. Cela indique également que le débitage s’effectuait en descendant.

 

En dessous, des résidus de taille furent entassés pour former de petites rampes inclinées afin de faciliter le chargement des blocs débités.

 

Nous arrivons maintenant à ce qui motive le titre de cet article.
Le ciel par endroit se fait menaçant et de spectaculaires effondrements obstruent les galeries. Le recouvrement rocheux au dessus de nos têtes n’est manifestement pas épais et cède par ça et là sous la pression de la terre. Des sortes de puits en forme de cloche se forment petit à petit en remontant parfois jusqu'à la surface. A leurs pieds, on trouve une pyramide formée par les matières effondrées. Nous sommes bien en présence des fameux fontis.
On comprend facilement les désordres que cela peut occasionner en surface et des accidents meurtriers furent à l'origine de la création, à la demande de Louis XVI, de l'Inspection Générale des Carrières. 

 

 

 
Celui-ci continue d’évoluer. On distingue bien que la périphérie du trou initial commence à être affectée. Le plafond, à cet endroit, ne tiendra pas encore des lustres comme dirait le comique de service qui n'est pas une lumière!

 

Comme bien souvent, après l’arrêt de l’exploitation, la carrière a été reconvertie en champignonnière. Les murs dressés devaient servir à maitriser la ventilation nécessaire à la myciculture.

 

On jette un coup d’œil à l’enchainement des nombreux piliers où il serait facile de perdre son orientation. Heureusement, nous avions un guide que nous remercions au passage.

 

Proche de l’entrée, la lumière du jour se faufile entre les pilastres hiératiques, luttant contre les ténèbres en nimbant l’atmosphère mystérieuse d’une lueur mordorée. C’est y pas bien dit ça ?

 

On ne va tout de même pas se quitter sans un dernier regard sur ces deux beaux fontis siamois.

A bientôt pour d'autres visites photographiques si les trolls ne nous mangent pas.

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 09:12
Encore une promenade souterraine dans une carrière de calcaire qui recèle  de fort belles choses appelées à disparaitre.
Le matériau extrait est un calcaire blanc relativement tendre.  Les strates exploitées  font environ deux  mètres d'épaisseur et la carrière est globalement horizontale couvrant une surface impressionnante. Les traçes de taille  indiquent  que les blocs  découpés faisaient environ 2 mètres cube. La plupart d'entre eux ont servi aux travaux Haussmanniens.
Comme bien souvent, les galeries de cette exploitation furent réutilisées  comme champignonnière.
La carrière a été exploitée en piliers tournés disposés de manière régulière  et ressemble rapidement à un labyrinthe

 

Outre les piles non défruitéesHooo, c'est beau !, le ciel est soutenu, dans certains secteurs, par les rebuts empilés derrière des murs de moellons provenant du débitage. Ce système de soutènement se nomme: par hagues et bourrage.

 

Dans cette partie de la carrière, devant des hagues, on voit des blocs abandonnés sur place et celui du milieu, curieusement, sert d'assise à un pilier à bras..

 

A cet endroit, le ciel a dû montrer quelques signes de faiblesse qui justifient ces chandelles. Je suppose que  ce renfort  date sûrement d'une époque postérieure à l'exploitation du calcaire car cet agencement gène la circulation dans la galerie et les étais sont encore dans un état relativement correct.

 

Nous avons ici un témoignage discret et fragile: un carrier a astucieusement employé le noir de fumée de sa lampe pour faire un tableau noir sur lequel figurent des chiffres dont nous ignorons la signification.

 

 Dans certains secteurs, des contrôles de la pression que subissent les piliers ont été effectués. Dans une fente horizontale, est insérée une sorte de lamelle comportant un "coussinet" et un manomètre indique la pression que subit ce coussinet. Un rapide coup d'oeil nous confirme que l'on ne risque rien! Poursuivons la visite.

 

 Une galerie de recherche a mis à jour une source qui forme un joli petit lac d'eau limpide.

 

Comme je l'ai écrit, cette carrière est assez vaste et certaines parties pourraient sembler monotones à parcourir. Il faut ici rendre hommage à Erik Rotheim le bienfaiteur qui a breveté la bombe aérosol. Les artistes locaux  peuvent ainsi décorer la blancheur des murs d'expressions artistiques d'un haut niveau. Comme l'inspiration ne leur manque pas, ils ont également brûlé quelques voitures pendant des manifestations de culture alternative ajoutant ainsi un dépôt  noirâtre  au sol de la carrière. Quand on pense que la chaleur dégagée  risque en plus de faire écrouler le plafond des galeries, on ne peut être qu'admiratif quant à l'imagination créative de ces artistes... en herbes.  Bon, au moins pendant ce temps là, ils ne  traînent pas dans les musées.
Faisons abstraction de toutes ces dégradations et contemplons ces beaux renforts voûtés.

 

Dans cette partie de la carrière, pas de profanations pariétales, les infiltrations d'eau ont nécessité l'emploi d'une pompe et décorent à leur manière les parois par l'apport de calcite.

 

Petit à petit, les concrétions se développent apportant une touche insolite à ces longs couloirs.

 

Après avoir erré dans ce dédale, fatigués et crottés mais heureux, nous prenons un bon bain et rentrons au volant de notre machine à remonter le temps.

 

Vous pouvez découvrir d'autres aspects  de  ces lieux insolites en cliquant sur l'image suivante:

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 14:48

 

Si l’on flâne parmi les blocs gréseux du Sud de l’Ile de France il n’est pas besoin de parcourir 1000 lieux pour tomber sur les traces laissées par les carriers.
Baguenaudant à la recherche de gravures rupestres je me suis retrouvé une fois de plus au milieu d’un coin de forêt qui porte les stigmates de cette industrie.

Carriers

 

Si les murets de terrassement sont courants, il est moins fréquent de retrouver des murs de cahute encore debout..

 

Quelques rochers abritent des graffitis soignés peut être dus à la main de carriers.

Carriers

 

Un peu plus loin, on progresse au niveau de la rareté car je tombe sur un bout de rail de style Decauville. C'est un tronçon portatif d'un écartement de 0.40m.

Carriers

 

Deux minutes plus tard, je m’ébaubis à la découverte de ferrailles mêlées à la végétation. Je ne rêve pas, il s’agit bien d’une berline qui, une fois services rendus, repose dans l’herbe, condamnée à disparaître petit à petit. Si j'ai déjà rencontré ce type de vestiges au cours de mes pérégrinations souterraines, c'est bien la première fois que je découvre un wagonnet dans le massif.

Carriers

 

La benne basculante avec ses axes:

Carriers

 

Le chariot porteur. Hélas les roues ne sont plus là.

Carriers

 

Dans un autre secteur je trouve un bloc débité dont la face supérieure porte une encoche. C’est vraisemblablement une « boîte à coin ». Le carrier y enfonçait un coin métallique destiné à fendre le bloc. 

Carriers

 

Voici une série de coins encore en place dans une autre ancienne carrière

 

Carriers Carriers

 

 

Vous trouverez beaucoup de renseignements historiques et techniques sur les carriers de Fontainebleau en parcourant la toile.
Ici ou bien par exemple.
Sans oublier cette excellente vidéo très complète:

Mise à jour
Une visite dans un autre secteur nous a révélé 4 autres berlines ainsi qu'un abri de carriers assez bien conservé. .
Vestiges carriers
Vestiges carriers
Vestiges carriers
Vestiges carriers
Vestiges carriers
Vestiges carriers

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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 07:18

 

Le monde souterrain laisse rarement indifférent.
Pour certains, il provoque une grande répugnance physique ou psychologique, pour d’autres il exerce au contraire une forte fascination.
Pour tenter de mettre tout le monde d’accord, je vous propose un petit diaporama illustrant des carrières différentes:
Une bande son bien anxiogène pour les uns et des photos que j’espère pas trop moches pour les autres vous dévoileront quelques aspects de ces cavités anthropiques.

 

Pour bénéficier d'une bonne qualité d'image, vous pouvez télécharger le diaporama. Il faut patienter un peu (11.1 Mo) et le décompresser.
Il se peut que vous ayez un message d’alerte signalant un fichier potentiellement dangereux, il ne faut pas en tenir compte.

Version PC
Version Mac

 

Sinon, impatients, vous pouvez le visionner également en hd sur le site YouTube en jouant sur la qualité en fonction de la capacité de votre connexion.
 http://idata.over-blog.com/5/49/08/39/fond/Sans-titre-1-copie-2.jpg

 


 
Petit rappel car la question m’est souvent posée:

Carrière ou mine ?

 

Quelques liens:

Débitage d'un bloc de pierre.

Vie des carriers.

 

Vous trouverez d'autres diaporamas ici

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 09:34

 

Pas de blabla, tout est dit dans le titre !
Juste une suite imagée de l'article la craie sénonaise. Cette nouvelle visite a servi de test pour apprivoiser un peu la technique photo de l'open flash.

Craie.jpg

 

 

A ne pas rater :

Ici un lien très interessant.
Et pour le même prix...
Un autre .

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 14:41

 

 

Que faire par ce temps maussade ? Regarder la mise à jour de l’article Carrière de calcaire par exemple.
   
 
Suffit de cliquer sur la gravure !
 
gravure.jpg
  sign
 

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 12:33
En tant que Gadjo le jeu de mot est incontournable !
Cette sortie s’est donc déroulée entre amis du voyage souterrain à l'intérieur de deux anciennes carrières de gypse communicantes.
Wikipédia nous apprend que : « Au XVIIIe siècle, Paris devient la ville du plâtre grâce à ses gisements souterrains ( de gypse) et un édit de Louis XIV en 1667 rendra même le matériau ignifuge obligatoire en tant qu’enduit intérieur et extérieur, pour éviter les propagations d’incendies.
Le gypse en région parisienne se présente en 3 couches (masse) d’épaisseur différentes séparées par une strate de marne.
Tout ceci est fort bien expliqué  ici

Nous essayons pendant notre visite de comprendre la méthode d'extraction.
Un front de taille inachevé possède une belle saignée à sa base. Pour extraire le gypse il est probable que le soucheveur, allongé, à l’aide d’un pic et d’une sorte de barre à mine, creuse au pied du front de taille une entaille horizontale d’env. 2 mètres de profondeur et d’une hauteur d’une vingtaine de centimètres.

 

Ensuite des trous étaient percés dans le banc supérieur, et bourrés de poudre noire. Les blocs détachés sont débités à la masse. Petit à petit des grands volumes sont ainsi « défruités. »
Les galeries de roulage sont renforcées par des barres de fer ou de bois.

Annet 0021cadre

 

Ou beaucoup plus rarement par de magnifiques piliers à bras    

Annet-0084cadre.jpg

 

Notre visite s’est presque essentiellement déroulée dans la première masse.

Annet-0031cadre.jpg

 

L’exploitation en 2e masse est certainement en grande partie effondrée néanmoins certains vides résiduels se révèlent par l'apparition de fontis qui percent en première masse en des mouvements de terrain spectaculaires. Mais ici,est-ce réellement la seconde masse qui produit ces désordres ? Difficile à dire car nous ne disposons pas des plans de l'exploitation.

Annet-0060cadre.jpg

 

Un passage étroit proche d’un puits permet d’accéder sous la couche marneuse où se sont développés des cristaux en « fer de lance ».

-0038cadre.jpg

 

Le gypse très sensible à l’humidité n’a pas la tenue du calcaire et les effets de la pression sont partout visibles.

pression

 

De 1938 à 1966 la carrière a été reconvertie en champignonnière.

 

La célèbre "rafale". Bravo à celui qui trouvera l'année de mise en circulation.

 

Pour l'anecdote, une partie de la carrière a servi de refuge pendant la guerre de 1870. On peut encore voir les restes du four à pain.

 

Je remercie vivement mon ami François pour nous avoir fait découvrir ce patrimoine qui petit à petit va disparaître. Son plan très précis a été bien utile car le labyrinthe est vite déroutant. D'autres photos en cliquant en dessous :

Annet 0037cadre

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12 février 2012 7 12 /02 /février /2012 18:43

 

Une journée organisée par Jean-Pierre M. qui nous a fait profiter de sa grande connaissance d'une carrière avec beaucoup de gentillesse. Nous étions 17 aussi l'ambiance était différente des visites précédentes mais la beauté du site est toujours aussi agréable et déroutante à parcourir.
Quelques bonnes bouteilles n'ont pas survécu au pique-nique mais elles ne sont en rien responsables du rendu des photos qui suivent:

Une chauve souris se prend pour Isadora Duncan et répète sa chorégraphie

 

Puiselet_12_2_2012-0005cadre.jpg

 

Des couleurs complétement naturelles ou presque, provoquées par nos lampes,  font ressortir la majesté des lieux.

 

 Puiselet 12 2 2012 0042cadre

 

Cette carrière dégage des ondes positives ...

 

Puiselet_12_2_2012-0015cadre.jpg

 

... une fois passé sous le torii .

 

Puiselet_12_2_2012-0039cadre.jpg

 

Maitre Wikipédia dit:
Du fait de sa fonction de séparation symbolique du monde physique et du monde spirituel, chaque torii traversé lors de l'accès à un temple doit être retraversé dans l'autre sens afin de revenir dans le monde réel.

Sage conseil si on veut rester zen pour retrouver la sortie :)

 

Puiselet_12_2_2012-0018.jpg

 

En sortant, noubliez pas le guide !

 

  ormesson198.jpg

 

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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 10:42

Clic sur l'image pour l'agrandir.

michery-0017-copie-1.jpg

 

Cette carrière est ancienne comme l’attestent  divers graffitis. Le plus ancien date de 1784.

Amm.jpg

 

Si ceux des carriers sont émouvants  les tags  laissés par des visiteurs contemporains sont nettement moins esthétiques. Des feux de camps alimentés par des pneus voire des voitures ont bien dégradé certains secteurs. Néanmoins on fait rapidement abstraction  de ces manifestations regrettables tant l’espace est insolite. Partout les traces d’extraction des pierres donnent un rythme graphique très esthétique. Le travail effectué par les carriers au fil des ans est très impressionnant.

 

 michery 0011

 

La craie, relativement tendre était extraite sous forme de moellons d’une vingtaine de centimètres de hauteur à l’aide d’outils « rustiques » (pics, scies).

Les pierres débitées étaient ensuite mises à sécher. Une fois  débarrassées de leur teneur en eau (20%) elles étaient aptes à résister aux intempéries.

Voici quelques photos de cette sortie

ici

 

 

 

 

 

 

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Vous trouverez ici un  diaporama d'une belle aventure souterraine réalisée par des copains.

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